A língua francesa teve grande importancia histórica. Ainda hoje tem grande influência no mundo, tanto pela importância da França, como dos países na América e na África..///// La langue française a été de grande importance historique car c'était la langue des affaires du monde dans le Haut Age Moyen. A toujours une grande influence dans le monde, tant pour l'importance de la France e des pays en Amérique et en Afrique. Ce blog est mes notes de l'étude du français.
terça-feira, 28 de setembro de 2010
sexta-feira, 30 de julho de 2010
LA LANGUE FRANÇAISE EN FÊTE
Jacques Viala
9-3-2009
Jacques Viala pour « La langue française en fête » du 14 au 22 mars et pour sa pièce « Le propre de l'homme » mise en scène par Eric de Staercke et dans laquelle il joue du 10 au 28 mars au Riches Claires à Bruxelles
quinta-feira, 1 de julho de 2010
ARC-EN-CIEL
SOURCE:
http://www.rfi.fr/lffr/articles/112/article_3005.asp/JULLIET/2010
ARC-EN-CIEL 22/04/2009
écouter 2 min 39 seg
L’Afrique du Sud vote, donc on en parle et c’est normal. Et comme les journalistes aiment les formules et parfois même les clichés, on entend sans cesse parler de la nation « arc en ciel ». On a bien compris qu’il s’agissait de ce pays : on a là affaire à une expression toute faite, mais en même temps à une expression – image – qui a des équivalents ailleurs : par exemple quand on parle du Liban, bien souvent on dit « le pays du cèdre ». C’est un peu comme une effigie, comme un drapeau, un emblème qui représente le pays, en s’appuyant sur une certaine réalité. Pour le Liban, on a choisi un arbre qu’on trouve beaucoup là-bas, et qui est aussi l’orgueil du pays.
Alors pourquoi « arc-en-ciel » pour l’Afrique du Sud ? Pour montrer que toutes sortes de populations vivent en Afrique du Sud et peuvent se sentir chez elles là-bas. On sait que l’arc-en-ciel est ce phénomène optique qu’on voit quand la lumière du soleil se diffracte à travers de la pluie. Alors des couleurs, on en voit plein dans l’arc-en-ciel : ce ruban arqué présente toutes les nuances colorées. Combien de couleurs ? Difficile à dire : ça ne dépend pas vraiment de l’arc-en-ciel, mais de la langue qui le décrit. En français on en distingue sept ; dans d’autres langues on n’en comptera que trois. Tout dépend comment la langue distingue une couleur de l’autre : l’orangé est-il une nuance du rouge, du jaune, ou une couleur radicalement différente ?
En tout cas l’arc-en-ciel est une bonne image des couleurs différentes qui sont harmonieusement disposées les unes à côté des autres : juxtaposition, coexistence pacifique !
Mais on sait que le symbole ne s’arrête pas là : Depuis la mythologie grecque, et dans bien d’autres traditions, l’arc-en-ciel symbolise la paix et le lien : lien entre les dieux et les hommes, le soleil et la terre.
Pour l’Afrique du Sud, bien sûr le symbole est politique : il renvoie à la population de ce pays où cohabitent des gens d’origines différentes, d’ethnies différentes, de couleurs de peau différentes.
Mais cette formule de nation arc en ciel a une histoire : elle représente une nation politique, une nation construite, consciente d’elle-même : le mot est lié à l’histoire. On commence à entendre cette formule juste après la période de l’Apartheid. Elle ne représente donc pas l’Afrique du Sud de toujours ; ce n’est pas l’utopie d’une nation éternelle, mais l’utopie (nécessaire ?) d’une nation d’aujourd’hui, qui hérite de son passé et affronte son présent. Elle a été inventée par Desmond Tutu, qui fut archevêque du Cap. Et elle a été reprise par Nelson Mandela, premier président noir du pays après l’Apartheid, qui s’exprimait ainsi dans son célèbre discours d’investiture :
« A mes compatriotes, je dis sans hésiter que chacun d’entre nous est aussi intimement enraciné dans le sol de ce pays magnifique que le sont les fameux jacarandas de Pretoria et les mimosas de la brousse. […] Nous avons réussi à implanter l’espoir dans le cœur de millions de personnes de notre peuple. Nous nous engageons à bâtir une société dans laquelle tous les Africains du Sud, qu’ils soient blancs ou noirs, pourront se tenir debout et marcher sans crainte, sûrs de leur droit inaliénable à la dignité humaine – une nation arc-en-ciel, en paix avec elle-même et avec le monde. »
Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
http://www.cndp.fr/
http://www.rfi.fr/lffr/articles/112/article_3005.asp/JULLIET/2010
ARC-EN-CIEL 22/04/2009
écouter 2 min 39 seg
L’Afrique du Sud vote, donc on en parle et c’est normal. Et comme les journalistes aiment les formules et parfois même les clichés, on entend sans cesse parler de la nation « arc en ciel ». On a bien compris qu’il s’agissait de ce pays : on a là affaire à une expression toute faite, mais en même temps à une expression – image – qui a des équivalents ailleurs : par exemple quand on parle du Liban, bien souvent on dit « le pays du cèdre ». C’est un peu comme une effigie, comme un drapeau, un emblème qui représente le pays, en s’appuyant sur une certaine réalité. Pour le Liban, on a choisi un arbre qu’on trouve beaucoup là-bas, et qui est aussi l’orgueil du pays.
Alors pourquoi « arc-en-ciel » pour l’Afrique du Sud ? Pour montrer que toutes sortes de populations vivent en Afrique du Sud et peuvent se sentir chez elles là-bas. On sait que l’arc-en-ciel est ce phénomène optique qu’on voit quand la lumière du soleil se diffracte à travers de la pluie. Alors des couleurs, on en voit plein dans l’arc-en-ciel : ce ruban arqué présente toutes les nuances colorées. Combien de couleurs ? Difficile à dire : ça ne dépend pas vraiment de l’arc-en-ciel, mais de la langue qui le décrit. En français on en distingue sept ; dans d’autres langues on n’en comptera que trois. Tout dépend comment la langue distingue une couleur de l’autre : l’orangé est-il une nuance du rouge, du jaune, ou une couleur radicalement différente ?
En tout cas l’arc-en-ciel est une bonne image des couleurs différentes qui sont harmonieusement disposées les unes à côté des autres : juxtaposition, coexistence pacifique !
Mais on sait que le symbole ne s’arrête pas là : Depuis la mythologie grecque, et dans bien d’autres traditions, l’arc-en-ciel symbolise la paix et le lien : lien entre les dieux et les hommes, le soleil et la terre.
Pour l’Afrique du Sud, bien sûr le symbole est politique : il renvoie à la population de ce pays où cohabitent des gens d’origines différentes, d’ethnies différentes, de couleurs de peau différentes.
Mais cette formule de nation arc en ciel a une histoire : elle représente une nation politique, une nation construite, consciente d’elle-même : le mot est lié à l’histoire. On commence à entendre cette formule juste après la période de l’Apartheid. Elle ne représente donc pas l’Afrique du Sud de toujours ; ce n’est pas l’utopie d’une nation éternelle, mais l’utopie (nécessaire ?) d’une nation d’aujourd’hui, qui hérite de son passé et affronte son présent. Elle a été inventée par Desmond Tutu, qui fut archevêque du Cap. Et elle a été reprise par Nelson Mandela, premier président noir du pays après l’Apartheid, qui s’exprimait ainsi dans son célèbre discours d’investiture :
« A mes compatriotes, je dis sans hésiter que chacun d’entre nous est aussi intimement enraciné dans le sol de ce pays magnifique que le sont les fameux jacarandas de Pretoria et les mimosas de la brousse. […] Nous avons réussi à implanter l’espoir dans le cœur de millions de personnes de notre peuple. Nous nous engageons à bâtir une société dans laquelle tous les Africains du Sud, qu’ils soient blancs ou noirs, pourront se tenir debout et marcher sans crainte, sûrs de leur droit inaliénable à la dignité humaine – une nation arc-en-ciel, en paix avec elle-même et avec le monde. »
Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
http://www.cndp.fr/
CRITIQUE DE L'ENSEIGNEMENT
Orthographe, grammaire : les leçons de Marie Desplechin - kewego
L'écrivain Marie Desplechin s'énerve contre l'enseignement du français à l'école. Une vidéo du site d'information http://LeLocuteur.info
L'écrivain Marie Desplechin s'énerve contre l'enseignement du français à l'école. Une vidéo du site d'information http://LeLocuteur.info
Mots-clés : marie desplechin français orthographe grammaire enseignement langue française réforme livre lecture
Video de lelocuteur
ALLIANCE FRANÇAISE DE TIANJIN
vidéo Alliance Française de Tianjin - kewego
vidéo Alliance Française de Tianjin
vidéo Alliance Française de Tianjin
Video de af-tianjin
FUTUR SIMPLE ET CONDITIONNEL PRÉSENT
Différence entre le futur simple et le conditionnel présent - kewego
Différence entre le futur simple et le conditionnel présent. Les explications d'un professeur de Français, Vincent Payelle, pour le site www.questionsdemarche.com. Le futur simple et le conditionnel présent ont le même radical mais ont des terminaisons différentes. Contrairement au futur simple, le conditionnel indique lui une hypothèse. Questions de Marché (www.questiondemarche.com) votre site de conseils en vidéos. Vos questions ne doivent pas rester sans réponses.
Différence entre le futur simple et le conditionnel présent. Les explications d'un professeur de Français, Vincent Payelle, pour le site www.questionsdemarche.com. Le futur simple et le conditionnel présent ont le même radical mais ont des terminaisons différentes. Contrairement au futur simple, le conditionnel indique lui une hypothèse. Questions de Marché (www.questiondemarche.com) votre site de conseils en vidéos. Vos questions ne doivent pas rester sans réponses.
À OU A???
Quand doit-on utiliser ''a'' ou ''à'' avec un accent ? - kewego
Ce qu'il faut savoir sur la conjugaison, la grammaire, la concordance des temps, bien accorder les verbes, mettre les bonnes terminaisons. Quand doit-on utiliser '' a '' ou '' à '' avec un accent ?Les explications d'un professeur de Français, Vincent Payelle, pour le site www.questionsdemarche.com C'est une notion moderne, l'usage en est assez récent dans la langue française. " à " est une préposition. Exemples : '' J'habite à Paris ... '', " Il travaille à la Défense ... ", " un avion à réaction ...", " une boîte à idées ..."La préposition " à " peut amener une idée de destination (exemples 1 et 2) ou une idée de description (exemple 3 et 4). " a " est la forme conjuguée du verbe avoir, à la troisième personne du singulier (Il, Elle ou On). Exemples : '' Il a chaud ... '', "Elle a faim ...", '' On a sommeil ...''. L'accent permet donc d'éviter la confusion à la lecture. Vos questions ne doivent pas rester sans réponses.www.questionsdemarche.com, vous aide et vous informe.
Ce qu'il faut savoir sur la conjugaison, la grammaire, la concordance des temps, bien accorder les verbes, mettre les bonnes terminaisons. Quand doit-on utiliser '' a '' ou '' à '' avec un accent ?Les explications d'un professeur de Français, Vincent Payelle, pour le site www.questionsdemarche.com C'est une notion moderne, l'usage en est assez récent dans la langue française. " à " est une préposition. Exemples : '' J'habite à Paris ... '', " Il travaille à la Défense ... ", " un avion à réaction ...", " une boîte à idées ..."La préposition " à " peut amener une idée de destination (exemples 1 et 2) ou une idée de description (exemple 3 et 4). " a " est la forme conjuguée du verbe avoir, à la troisième personne du singulier (Il, Elle ou On). Exemples : '' Il a chaud ... '', "Elle a faim ...", '' On a sommeil ...''. L'accent permet donc d'éviter la confusion à la lecture. Vos questions ne doivent pas rester sans réponses.www.questionsdemarche.com, vous aide et vous informe.
segunda-feira, 14 de junho de 2010
quarta-feira, 31 de março de 2010
RÉGION
De quoi parle-ton aujourd’hui, sinon de régions ? Région par région on scrute le résultat de ce premier tour électoral en France. Et bien sûr le mot « région » s’entend continuellement.
Mais on le sait ses sens sont multiples. Et longtemps, il a eu une signification qui n’était nullement technique. Une région, c’est assez vague : une contrée, un territoire, une zone… Le tout est que cet espace ait une certaine unité, naturelle ou historique. Et le mot région signifie même parfois « environs » : je vais passer mes vacances dans la région de Clermont-Ferrand.
Mais la région est aussi un mot précis, administratif, qui désigne en France une certaine collectivité territoriale.
On vivait depuis la Révolution et surtout le premier Empire, dans un état divisé en départements : 83 au départ, un peu plus aujourd’hui. Mais ces départements sont petits, inégaux en richesse en population. La modernisation de la vie politique exigeait des espaces plus grands. La régionalisation, c'est-à-dire la mise en place de ces nouvelles divisions a été longue, pas toujours facile. En 1969 le général De Gaulle proposait un référendum, sur l’idée de région, entre autres choses. La réponse majoritaire fut « non » ce qui entraîna son retrait de la vie politique. Mais comme il l’avait annoncé, cela faussait un peu l’enjeu !
En 1972 George Pompidou fait avancer les choses. Mais c’est surtout dans les années 80, après l’élection de François Mitterrand que les choses avancent. Une région, en général, regroupe plusieurs départements. Ces grandes divisions rappellent-elles celles de l’Ancien Régime ? Pas vraiment : les régions ne sont pas des provinces. Mais l’animosité contre les provinces a heureusement disparu, cette histoire est lointaine : les révolutionnaires voulaient à tout prix éviter de rappeler les régions dans leur façon de créer et de nomme ces départements. Ils s’appuyaient donc largement sur la géographie (montagnes et fleuves notamment) et l’idée de nature républicaine, voyait là son application. Seul le département de la Savoie a gardé un nom d’ancienne province, mais justement, cela s’est fait plus tard : au moment de la Révolution, la Savoie n’était pas française ; elle ne le devient qu’en 1860.
Bourgogne, Limousin Bretagne, Lorraine… Les régions dans leur appellation n’ont donc pas peur de faire penser à la France des rois. Mais on a aussi Languedoc qui est plus vague (et associé au Roussillon). Et de même, on a des dénominations qui associent plusieurs lieux : Midi Pyrénées, Provence Alpes Côte d‘Azur, Rhône Alpes.
Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
SOURCE:http://www.cndp.fr/
quarta-feira, 17 de março de 2010
A DONF
Fadela Amara, secrétaire d’Etat chargée de la Politique de la Ville, déclarait il y a quelques jours, à propos des actions à mener pour améliorer la vie des jeunes de banlieue, qu’il fallait « y aller à donf ! ». Et le Monde daté d’aujourd’hui reprend cette formule en la commentant : « Glandouille a beaucoup fait pour la gloire de celle qui est, depuis cet été, chargée de la Politique de la Ville. L’usage du verlan aussi. », écrit Dominique Dhombres.
En effet, si « glandouille » est un mot populaire qui signifie à peu près désoeuvrement – c’est le mot que Fadela Amara emploie dans une autre phrase – ce n’est pas du verlan. « A donf », si ! Et l’expression n’est pas l’apanage de la ministre : elle est très courante surtout chez les jeunes, mais pas uniquement, d’ailleurs, vu son succès.
« A donf » signifie donc à fond. Et on peut remarquer qu’il s’agit là d’un verlan orthographique : pour retourner l’expression, on s’est servi du « f », la consonne muette, qui s’écrit mais ne se prononce pas, qu’on trouve à la fin du mot « fond ». Un verlan qui connaît ses classiques donc ! Le sens de l’expression n’a pas changé avec son retournement, mais « à donf » est quand même une expression diantrement à la mode, et qu’on entend un peu à tout bout de champ.
Le sens fréquent de l’expression « à fond » est simplement de servir d’intensif à « oui » : oui vraiment, oui tout à fait, oui absolument… Mais le premier sens est un peu différent : cela veut dire « le plus vite possible ». « On était à fond sur l’autoroute ! On a roulé à donf ! » A l’origine, il s’agit d’avoir le pied à fond sur l’accélérateur quand on conduit. L’image correspond à peu près à « avoir le pied au plancher ». On comprend bien que l’expression est positive, même si ça évoque une conduite parfois dangereuse.
« A fond » est donc très différent de « au fond », qu’on trouve dans des expressions comme « au fond du trou, au fond du gouffre », etc. « Au fond » évoque ce qui est tout en bas, alors qu’« à fond » veut dire « au maximum ». On emploie la locution, par exemple, quand on fait donner à une machine tout ce qu’elle a dans le ventre. Parfois même, on colore l’expression : « à fond les mannettes » ! Il semble que l’image change, et on pense plutôt à une moto, dont on aurait tourné à fond la manette des gaz. On entend parfois aussi « à fond les ballons » dont l’origine est plus obscure.
En tout cas, l’emploi de cette locution s’est étendu, et « à fond » comme « à donf » signifient aujourd’hui se donner sans compter, sans s’économiser, au maximum. Ainsi parle-t-on de quelqu’un qui se donne à fond, dans son travail. « Se donner à fond » est une expression fréquente. Mais la tournure a tant de succès qu’on peut la trouver dans les contextes les plus divers. Untel jette ses bouteilles dans cette poubelle-ci et ses coquilles d’œuf dans celle-là : il est écolo à fond. Quant à Fadela Amara de son côté, elle peut espérer réformer à donf.
Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
http://www.cndp.fr/
En effet, si « glandouille » est un mot populaire qui signifie à peu près désoeuvrement – c’est le mot que Fadela Amara emploie dans une autre phrase – ce n’est pas du verlan. « A donf », si ! Et l’expression n’est pas l’apanage de la ministre : elle est très courante surtout chez les jeunes, mais pas uniquement, d’ailleurs, vu son succès.
« A donf » signifie donc à fond. Et on peut remarquer qu’il s’agit là d’un verlan orthographique : pour retourner l’expression, on s’est servi du « f », la consonne muette, qui s’écrit mais ne se prononce pas, qu’on trouve à la fin du mot « fond ». Un verlan qui connaît ses classiques donc ! Le sens de l’expression n’a pas changé avec son retournement, mais « à donf » est quand même une expression diantrement à la mode, et qu’on entend un peu à tout bout de champ.
Le sens fréquent de l’expression « à fond » est simplement de servir d’intensif à « oui » : oui vraiment, oui tout à fait, oui absolument… Mais le premier sens est un peu différent : cela veut dire « le plus vite possible ». « On était à fond sur l’autoroute ! On a roulé à donf ! » A l’origine, il s’agit d’avoir le pied à fond sur l’accélérateur quand on conduit. L’image correspond à peu près à « avoir le pied au plancher ». On comprend bien que l’expression est positive, même si ça évoque une conduite parfois dangereuse.
« A fond » est donc très différent de « au fond », qu’on trouve dans des expressions comme « au fond du trou, au fond du gouffre », etc. « Au fond » évoque ce qui est tout en bas, alors qu’« à fond » veut dire « au maximum ». On emploie la locution, par exemple, quand on fait donner à une machine tout ce qu’elle a dans le ventre. Parfois même, on colore l’expression : « à fond les mannettes » ! Il semble que l’image change, et on pense plutôt à une moto, dont on aurait tourné à fond la manette des gaz. On entend parfois aussi « à fond les ballons » dont l’origine est plus obscure.
En tout cas, l’emploi de cette locution s’est étendu, et « à fond » comme « à donf » signifient aujourd’hui se donner sans compter, sans s’économiser, au maximum. Ainsi parle-t-on de quelqu’un qui se donne à fond, dans son travail. « Se donner à fond » est une expression fréquente. Mais la tournure a tant de succès qu’on peut la trouver dans les contextes les plus divers. Untel jette ses bouteilles dans cette poubelle-ci et ses coquilles d’œuf dans celle-là : il est écolo à fond. Quant à Fadela Amara de son côté, elle peut espérer réformer à donf.
Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
http://www.cndp.fr/
ÇA TOURNE AU VINAIGRE
VINAIGRE 01/03/2010
La campagne pour les régionales tourne au vinaigre ! C’est ainsi que le site de RFI présentait les différents mouvements qui ont agité cette période préélectorale. Alors, on dit du mal de son rival, on l’accuse, on ressort des affaires judiciaires vieilles de quarante-cinq ans, on porte plainte, calomnies, médisances, coups bas. Résultat, le niveau de ces confrontations baisse considérablement ; le débat d’idées est éclipsé au profit de règlements de comptes peu glorieux. L’image est claire : ça tourne au vinaigre. Il s’agit d’un processus qui se dégrade, qui s’abaisse, qui tient du pourrissement. Et on sait bien que le vin, s’il est mal conservé, au contact de l’air, quand par exemple il n’est pas bouché, ou en tout cas pas hermétiquement, peut devenir du vinaigre : il tourne, c’est le mot qu’on utilise pour des aliments ou des boissons qui ainsi s’altèrent.
Et ce verbe « tourner » a fréquemment ce sens dérivé : il s’agit d’une transformation qui se fait dans le plus mauvais sens, il s’agit d’une évolution regrettable : le débat a tourné à l’insulte, la rencontre a tourné au pugilat : on a bien l’idée de quelque chose qui tourne mal, c'est-à-dire qui dégénère. C’est pourquoi on entend parfois l’expression un peu ancienne : ça tourne vinaigre. Mais plus souvent on dit ça tourne au vinaigre. Et ce dernier mot a une composition tout à fait éclairante : en effet il s’agit bien de vin qui est devenu aigre, c’est-à-dire acide. Et on dit aussi tourner à l’aigre, dans le même sens.
On sait bien évidemment que le vinaigre n’est pas seulement du vin impropre à la consommation ; c’est un produit qui sert d’assaiVINAIGRE
La campagne pour les régionales tourne au vinaigre ! C’est ainsi que le site de RFI présentait les différents mouvements qui ont agité cette période préélectorale. Alors, on dit du mal de son rival, on l’accuse, on ressort des affaires judiciaires vieilles de quarante-cinq ans, on porte plainte, calomnies, médisances, coups bas. Résultat, le niveau de ces confrontations baisse considérablement ; le débat d’idées est éclipsé au profit de règlements de comptes peu glorieux. L’image est claire : ça tourne au vinaigre. Il s’agit d’un processus qui se dégrade, qui s’abaisse, qui tient du pourrissement. Et on sait bien que le vin, s’il est mal conservé, au contact de l’air, quand par exemple il n’est pas bouché, ou en tout cas pas hermétiquement, peut devenir du vinaigre : il tourne, c’est le mot qu’on utilise pour des aliments ou des boissons qui ainsi s’altèrent.
Et ce verbe « tourner » a fréquemment ce sens dérivé : il s’agit d’une transformation qui se fait dans le plus mauvais sens, il s’agit d’une évolution regrettable : le débat a tourné à l’insulte, la rencontre a tourné au pugilat : on a bien l’idée de quelque chose qui tourne mal, c'est-à-dire qui dégénère. C’est pourquoi on entend parfois l’expression un peu ancienne : ça tourne vinaigre. Mais plus souvent on dit ça tourne au vinaigre. Et ce dernier mot a une composition tout à fait éclairante : en effet il s’agit bien de vin qui est devenu aigre, c’est-à-dire acide. Et on dit aussi tourner à l’aigre, dans le même sens.
On sait bien évidemment que le vinaigre n’est pas seulement du vin impropre à la consommation ; c’est un produit qui sert d’assaisonnement, exquis quand il est utilisé parcimonieusement, quelques gouttes, un trait, pour relever, pour donner du goût. Mais en aucun cas il ne s’agit d’une boisson. On ne boit pas le vin aigre. Et souvent l’acidité du vinaigre sert à former des expressions qui ont un rapport avec l’agressivité, l’acidité du caractère. On a même l’expression populaire qui est « pisser du vinaigre » – populaire mais le général de Gaulle l’employait en public ! Ça signifie être furieux dans son coin, et plus souvent encore se répandre en propos insultants, notamment pour des journalistes.
Et puis « faire vinaigre », qui bizarrement n’a aucun rapport de sens avec les expressions précédentes : c’est se dépêcher, aller très vite. Pourquoi ? Il paraît qu’au départ, le mot est enfantin, et s’emploie pour des petites filles qui sautent à la corde : plus elles sautent vite, plus la corde tourne rapidement, plus elles font vinaigre, comme si elles étaient entrain de tourner une sauce pour que s’en mélangent les différents ingrédients pour faire une émulsion. Mais bien sûr, si cette expression a pris, c’est aussi parce qu’elle fait jeu de mots : faire vinaigre ressemble à faire vite.
Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
http://www.cndp.fr/sonnement, exquis quand il est utilisé parcimonieusement, quelques gouttes, un trait, pour relever, pour donner du goût. Mais en aucun cas il ne s’agit d’une boisson. On ne boit pas le vin aigre. Et souvent l’acidité du vinaigre sert à former des expressions qui ont un rapport avec l’agressivité, l’acidité du caractère. On a même l’expression populaire qui est « pisser du vinaigre » – populaire mais le général de Gaulle l’employait en public ! Ça signifie être furieux dans son coin, et plus souvent encore se répandre en propos insultants, notamment pour des journalistes.
Et puis « faire vinaigre », qui bizarrement n’a aucun rapport de sens avec les expressions précédentes : c’est se dépêcher, aller très vite. Pourquoi ? Il paraît qu’au départ, le mot est enfantin, et s’emploie pour des petites filles qui sautent à la corde : plus elles sautent vite, plus la corde tourne rapidement, plus elles font vinaigre, comme si elles étaient entrain de tourner une sauce pour que s’en mélangent les différents ingrédients pour faire une émulsion. Mais bien sûr, si cette expression a pris, c’est aussi parce qu’elle fait jeu de mots : faire vinaigre ressemble à faire vite.
Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
http://www.cndp.fr/
La campagne pour les régionales tourne au vinaigre ! C’est ainsi que le site de RFI présentait les différents mouvements qui ont agité cette période préélectorale. Alors, on dit du mal de son rival, on l’accuse, on ressort des affaires judiciaires vieilles de quarante-cinq ans, on porte plainte, calomnies, médisances, coups bas. Résultat, le niveau de ces confrontations baisse considérablement ; le débat d’idées est éclipsé au profit de règlements de comptes peu glorieux. L’image est claire : ça tourne au vinaigre. Il s’agit d’un processus qui se dégrade, qui s’abaisse, qui tient du pourrissement. Et on sait bien que le vin, s’il est mal conservé, au contact de l’air, quand par exemple il n’est pas bouché, ou en tout cas pas hermétiquement, peut devenir du vinaigre : il tourne, c’est le mot qu’on utilise pour des aliments ou des boissons qui ainsi s’altèrent.
Et ce verbe « tourner » a fréquemment ce sens dérivé : il s’agit d’une transformation qui se fait dans le plus mauvais sens, il s’agit d’une évolution regrettable : le débat a tourné à l’insulte, la rencontre a tourné au pugilat : on a bien l’idée de quelque chose qui tourne mal, c'est-à-dire qui dégénère. C’est pourquoi on entend parfois l’expression un peu ancienne : ça tourne vinaigre. Mais plus souvent on dit ça tourne au vinaigre. Et ce dernier mot a une composition tout à fait éclairante : en effet il s’agit bien de vin qui est devenu aigre, c’est-à-dire acide. Et on dit aussi tourner à l’aigre, dans le même sens.
On sait bien évidemment que le vinaigre n’est pas seulement du vin impropre à la consommation ; c’est un produit qui sert d’assaiVINAIGRE
La campagne pour les régionales tourne au vinaigre ! C’est ainsi que le site de RFI présentait les différents mouvements qui ont agité cette période préélectorale. Alors, on dit du mal de son rival, on l’accuse, on ressort des affaires judiciaires vieilles de quarante-cinq ans, on porte plainte, calomnies, médisances, coups bas. Résultat, le niveau de ces confrontations baisse considérablement ; le débat d’idées est éclipsé au profit de règlements de comptes peu glorieux. L’image est claire : ça tourne au vinaigre. Il s’agit d’un processus qui se dégrade, qui s’abaisse, qui tient du pourrissement. Et on sait bien que le vin, s’il est mal conservé, au contact de l’air, quand par exemple il n’est pas bouché, ou en tout cas pas hermétiquement, peut devenir du vinaigre : il tourne, c’est le mot qu’on utilise pour des aliments ou des boissons qui ainsi s’altèrent.
Et ce verbe « tourner » a fréquemment ce sens dérivé : il s’agit d’une transformation qui se fait dans le plus mauvais sens, il s’agit d’une évolution regrettable : le débat a tourné à l’insulte, la rencontre a tourné au pugilat : on a bien l’idée de quelque chose qui tourne mal, c'est-à-dire qui dégénère. C’est pourquoi on entend parfois l’expression un peu ancienne : ça tourne vinaigre. Mais plus souvent on dit ça tourne au vinaigre. Et ce dernier mot a une composition tout à fait éclairante : en effet il s’agit bien de vin qui est devenu aigre, c’est-à-dire acide. Et on dit aussi tourner à l’aigre, dans le même sens.
On sait bien évidemment que le vinaigre n’est pas seulement du vin impropre à la consommation ; c’est un produit qui sert d’assaisonnement, exquis quand il est utilisé parcimonieusement, quelques gouttes, un trait, pour relever, pour donner du goût. Mais en aucun cas il ne s’agit d’une boisson. On ne boit pas le vin aigre. Et souvent l’acidité du vinaigre sert à former des expressions qui ont un rapport avec l’agressivité, l’acidité du caractère. On a même l’expression populaire qui est « pisser du vinaigre » – populaire mais le général de Gaulle l’employait en public ! Ça signifie être furieux dans son coin, et plus souvent encore se répandre en propos insultants, notamment pour des journalistes.
Et puis « faire vinaigre », qui bizarrement n’a aucun rapport de sens avec les expressions précédentes : c’est se dépêcher, aller très vite. Pourquoi ? Il paraît qu’au départ, le mot est enfantin, et s’emploie pour des petites filles qui sautent à la corde : plus elles sautent vite, plus la corde tourne rapidement, plus elles font vinaigre, comme si elles étaient entrain de tourner une sauce pour que s’en mélangent les différents ingrédients pour faire une émulsion. Mais bien sûr, si cette expression a pris, c’est aussi parce qu’elle fait jeu de mots : faire vinaigre ressemble à faire vite.
Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
http://www.cndp.fr/sonnement, exquis quand il est utilisé parcimonieusement, quelques gouttes, un trait, pour relever, pour donner du goût. Mais en aucun cas il ne s’agit d’une boisson. On ne boit pas le vin aigre. Et souvent l’acidité du vinaigre sert à former des expressions qui ont un rapport avec l’agressivité, l’acidité du caractère. On a même l’expression populaire qui est « pisser du vinaigre » – populaire mais le général de Gaulle l’employait en public ! Ça signifie être furieux dans son coin, et plus souvent encore se répandre en propos insultants, notamment pour des journalistes.
Et puis « faire vinaigre », qui bizarrement n’a aucun rapport de sens avec les expressions précédentes : c’est se dépêcher, aller très vite. Pourquoi ? Il paraît qu’au départ, le mot est enfantin, et s’emploie pour des petites filles qui sautent à la corde : plus elles sautent vite, plus la corde tourne rapidement, plus elles font vinaigre, comme si elles étaient entrain de tourner une sauce pour que s’en mélangent les différents ingrédients pour faire une émulsion. Mais bien sûr, si cette expression a pris, c’est aussi parce qu’elle fait jeu de mots : faire vinaigre ressemble à faire vite.
Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
http://www.cndp.fr/
segunda-feira, 15 de março de 2010
NEGAÇÕES
FONTE: http://www.escolafrances.com/ptfrench3/grammar.asp
Negações
"Ne" é a partícula que se usa para realizar a negação de um verbo. Quando a expressao é negativa se usa a particula "pas" depois do verbo. Je ne veux pas être um numéro.
Se "ne" vai seguido de vocal se contrai e fica a forma "n'". Nos verbos compostos "pas" se coloca depois do verbo auxiliar. La France a perdu ume bataille! Mais la France n'a pas perdu la guerre! Appel du général de Gaulle.
Os infinitivos se negam colocando a forma "ne pas" na frente. L'enfer ét de ne pas aimer.
Na linguagem coloquial a partícula "ne" se omite com frequëncia. Je sais pas.
Negações
"Ne" é a partícula que se usa para realizar a negação de um verbo. Quando a expressao é negativa se usa a particula "pas" depois do verbo. Je ne veux pas être um numéro.
Se "ne" vai seguido de vocal se contrai e fica a forma "n'". Nos verbos compostos "pas" se coloca depois do verbo auxiliar. La France a perdu ume bataille! Mais la France n'a pas perdu la guerre! Appel du général de Gaulle.
Os infinitivos se negam colocando a forma "ne pas" na frente. L'enfer ét de ne pas aimer.
Na linguagem coloquial a partícula "ne" se omite com frequëncia. Je sais pas.
ADVÉRBIOS
FONTE:http://www.escolafrances.com/ptfrench3/grammar.asp
Advérbios
Os substantivos se veem modoficados pelos adjetivos. O advérbio é uma palavra invariavel que tem como função complementar ao verbo,modificar um adjetivo, um sustantivo ou inclusive uma frase inteira. Um exemplo de um advérbio que modifica a um adjetivo: Ils sont trop sophistiqués.
Um advérbio que modifica uma frase inteira: Heureusement, malgré que je suis pauvre, j'ai de la nourriture, de l'eau, et um abri.
Quando os advérbios modifican verbos, nos explican sobre tudo cmo se realiza a ação. Estes advérbios recebem o nome de advérbios de modo: Ils s'embrassent passionnément.
Advérbios
Os substantivos se veem modoficados pelos adjetivos. O advérbio é uma palavra invariavel que tem como função complementar ao verbo,modificar um adjetivo, um sustantivo ou inclusive uma frase inteira. Um exemplo de um advérbio que modifica a um adjetivo: Ils sont trop sophistiqués.
Um advérbio que modifica uma frase inteira: Heureusement, malgré que je suis pauvre, j'ai de la nourriture, de l'eau, et um abri.
Quando os advérbios modifican verbos, nos explican sobre tudo cmo se realiza a ação. Estes advérbios recebem o nome de advérbios de modo: Ils s'embrassent passionnément.
PRONOMES
FONTE: http://www.escolafrances.com/ptfrench3/grammar.asp
Pronomes
Pronomes pessoais: Singular: Je, tu, elle/il/on Plural: nous, vous, ils
Impessoais: Um sujeito impessoal é o que se usa em exprssões de tempo. Nestas exprssões o sujeito não cumpre nenhuma função, representa, poderíamos dizer, como são as coisas neste momento. O verbo impessoal vai sempre em terceira pessoa.
Tempo: Il é o sujeito da expreção de tiempo. Quelle heure est-il? Il est 4 heures..
Tempo (clima): para expressões relacionadas com o clima. Il pleut..
Pronomes
Pronomes pessoais: Singular: Je, tu, elle/il/on Plural: nous, vous, ils
Impessoais: Um sujeito impessoal é o que se usa em exprssões de tempo. Nestas exprssões o sujeito não cumpre nenhuma função, representa, poderíamos dizer, como são as coisas neste momento. O verbo impessoal vai sempre em terceira pessoa.
Tempo: Il é o sujeito da expreção de tiempo. Quelle heure est-il? Il est 4 heures..
Tempo (clima): para expressões relacionadas com o clima. Il pleut..
VERBOS EM FRANCÊS
FONTE: http://www.escolafrances.com/ptfrench3/grammar.asp
Verbos
Presente e infinitivo
Em francês, o presente se usa em expreções do tipo:
Je lis de la philosophie.
Se o que você quer é enfatizar a idéia de que você está realizando uma ação, você deve usar a estrutura "en train de":
Je ne peux venir. Je suis en train de peindre ma maison.
Em francês, o presente simples também se usa para expressar ações que se vão realizar em um futuro próximo.
Je pars demain à la guerre.
Infinitivo: o infinitivo não leva marca de tempo. é a forma não conjugada do verbo. Quando encontramos dois verbos juntos, o primeiro marcará o tempo.
Passado
Existem dois tipos de passado, o "passé composé" ou passado composto se usa para expressar ações terminadas: Elle a donné um coup de pied dans le ballon. Le camion a heurté l'arbre. Il a mangé ume groseille.
A segunda forma de passado, o "passé semple" ou passado simples sustitui ao passé composé em escritura formal. Le Français fit ce que qu'en toute occasion font is français, il se mit à rire.
Futuro e condicional
O futuro pode se sustituir pelo verbo " aller" mais outro verbo. Ils vont appeller nos parents.
Já o condicional não é um tempo e sim um modo, expressa o hipotético e o possível. Si vous nettoyez votre chambre, votre colocataire serait plus gentil avec vous.
Verbos
Presente e infinitivo
Em francês, o presente se usa em expreções do tipo:
Je lis de la philosophie.
Se o que você quer é enfatizar a idéia de que você está realizando uma ação, você deve usar a estrutura "en train de":
Je ne peux venir. Je suis en train de peindre ma maison.
Em francês, o presente simples também se usa para expressar ações que se vão realizar em um futuro próximo.
Je pars demain à la guerre.
Infinitivo: o infinitivo não leva marca de tempo. é a forma não conjugada do verbo. Quando encontramos dois verbos juntos, o primeiro marcará o tempo.
Passado
Existem dois tipos de passado, o "passé composé" ou passado composto se usa para expressar ações terminadas: Elle a donné um coup de pied dans le ballon. Le camion a heurté l'arbre. Il a mangé ume groseille.
A segunda forma de passado, o "passé semple" ou passado simples sustitui ao passé composé em escritura formal. Le Français fit ce que qu'en toute occasion font is français, il se mit à rire.
Futuro e condicional
O futuro pode se sustituir pelo verbo " aller" mais outro verbo. Ils vont appeller nos parents.
Já o condicional não é um tempo e sim um modo, expressa o hipotético e o possível. Si vous nettoyez votre chambre, votre colocataire serait plus gentil avec vous.
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